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Jacques Hélian


JACQUES HÉLIAN ET SON ORCHESTRE

(par Jean BAHUAUD)

"Ici Jacques Hélian et son orchestre "... suivait l'indicatif "Fleur de Paris". Qui ne se souvient de cette introduction des concerts du dimanche midi des années 40-50 ? Jacques Hélian a été le plus célèbre des chefs d'orchestre de variétés de l'après guerre. Tous ceux qui vécurent cette époque se souviennent de ses innombrables prestations : émissions radiophoniques, concerts, spectacles de Music-Hall, bals, ... Pas une personne de cette génération qui ne connaisse son nom, l'évoque avec une pointe de nostalgie dans la voix. Pas une personne qui ne puisse fredonner une des nombreuses chansons qu'ils ont créées, lui et son orchestre. Cette Équipe représentait la joie de vivre, la bonne humeur, le besoin d'œuvrer ensemble pour le plus grand plaisir du public. Les paroles des chansons étaient simples, les airs entraînants et faciles à retenir, en un mot populaires. A l'époque cela suffisait à notre bonheur. Dans les lignes qui suivent nous vous proposons d'évoquer Jacques Hélian. Nous donnons à la fin de cet article différentes sources que le lecteur pourra consulter pour avoir plus de détails.


D'où viens-tu, où vas-tu ?

Jacques Hélian est le fils d'Henriette Ruzé, née à Mons-en-Laonnois. Henriette Ruzé part à Paris. Elle y fait la connaissance de Sarkis Der Mikaëlian, arménien arrivé dans la capitale en 1906. Ils s'y marient en novembre 1907. Ils auront quatre enfants, tous nés à Paris : Georges en 1908, Marcelle en 1909, Jacques né le 07 juin 1912 dans le 10e arrondissement et Pierre en 1917. A la naissance de ses enfants, Henriette Ruzé ne devait pas se douter qu'elle allait être l'une des souches d'une lignée de musiciens prestigieux.

Georges Der Mikaëlian fit, entre autres choses, de nombreux arrangements pour l'orchestre de son frère et a écrit un certain nombre de chansons. Georges a eu deux fils : son second fils, Philippe, très doué pour la musique, obtient en 1967 la première mention du Concours International de Musique en piano et en 1972 le premier prix du Conservatoire National de Musique de Paris en contrepoint.

Marcelle Der Mikaëlian épouse, au printemps 1928, Raymond Legrand. Ce dernier est un musicien exceptionnellement doué : saxophoniste, arrangeur, compositeur, chef d'orchestre. De leur union naissent deux enfants : Christiane et Michel.

Christiane Legrand étudie dès l'âge de quatre ans le piano puis se tourne vers le chant et le jazz. Elle sera la soprano-lead et la soliste de divers groupes vocaux : les Blue Stars, les Swingle Singers, les Double Six. Elle chante dans de nombreux films, en particulier, dans les trois films de Jacques Demy : Les parapluies de Cherbourg, Les demoiselles de Rochefort et Peau d'âne. Elle a chanté avec l'orchestre de son oncle. Elle a créé et interprété une comédie musicale : Ah vous dirais-je maman !!!. Enfin elle a joué au théâtre Zazou mise en scène par Jérôme Savary...

Michel Legrand, son frère, collectionne les prix au Conservatoire : premier prix de solfège et d'harmonie, prix de fugue et de contrepoint, de composition, de piano. C'est un touche à tout de génie : jazzman, musicien de films - en particulier les trois films cités précédemment -, compositeur, chanteur, réalisateur, chef d'orchestre.

Jacques Der Mikaëlian viendra à la musique... sur le tard ! Jacques donnera quatre petits-enfants à Henriette Ruzé. Margareth, Jacques-Louis, François et Marie-Catherine. Margareth a chanté dans l'orchestre de son père.


L'apprentissage

Jacques Der Mikaëlian, pas encore Hélian, est doué pour les études et il entre, avec une dispense d'âge, à quinze ans et demi à l'École Dentaire. Nous sommes en 1927. Raymond Legrand devenu son beau-frère détecte les dons de Jacques pour la musique, lui fait découvrir le jazz et commence à lui apprendre à jouer du saxophone. Il arrête ses études au bout de trois ans et se consacre alors totalement à la musique.

Le 04 janvier 1932, Jacques Der Mikaëlian entre comme 3e saxo aux Cadets de Roland Dorsay. C'est ce dernier qui invente le patronyme Hélian. Henri Merveilleux rapporte : "un soir... au sortir d'une répétition, ..., Roland Dorsay dit à Jacques : "tu est né dans le 10e mais ton nom Der Mikaëlian ne fait pas très Gare de l'Est aussi je vais le franciser"... C'est en ouvrant, par la suite, un programme que Jacques découvrit qu'il s'appelait Jacques Hélian."

Jacques Hélian rejoint l'orchestre de Raymond Legrand comme saxo le 22 juin 1934. Fin août 1934, la formation devient, sans Raymond Legrand, Les Vagabonds Musicaux puis, fin février 1935, Les Vagabonds du Jazz que Jacques Hélian quitte, le 15 avril 1936, pour l'orchestre de Jo Bouillon.

Le 25 septembre 1936, Ray Ventura engage Jacques Hélian comme saxo-alto. C'est pour lui la concrétisation d'un rêve : jouer au sein de cette prestigieuse formation et faire partie des Collégiens.

Sursitaire, il part faire son service en octobre 1937. Affecté à la 1ère Compagnie du 5e R.I. à Courbevoie, il est libéré en octobre 1938. Peu avant sa libération, on propose à Jacques Hélian un projet d'émissions radiophoniques publicitaires pour le compte de la Société Oculta, fabricant des gaines Scandale. Le contrat est signé le 20 septembre 1938 : l'orchestre "Scandale, Direction Jacques Hélian" naissait. Hélas, le 27 mars 1939, Jacques Hélian doit rejoindre le 5e R.I. La guerre est déclarée le 3 septembre. Le 15 mai 1940, Gudérian perce à Sedan. La retraite commence pour l'unité de Jacques Hélian le 9 juin. Il est fait prisonnier, le samedi 15 juin, dans la forêt d'Othes. Alors, il sera l'un des prisonniers qui en triste cortège remontent à pied vers les camps et les stalags... Jacques Der Mikaëlian sera le Matricule 16116 du Stalag VI F à Bathorn en Allemagne...

Il est rapatrié sanitaire et démobilisé le 3 mars 1943. Ainsi se termine la première partie de la vie de Jacques Hélian. Il a maintenant 31 ans. Sa carrière de Chef d'Orchestre est devant lui...


Le Grand Orchestre

Le 24 août 1944 la 2e D.B. du Général Leclerc entre dans Paris. Jacques Hélian n'est pas touché par les turbulences de la Libération et il recrute un groupe de musiciens pour former son orchestre. A côté de Francine Aubret, jeune chanteuse belge originaire de Liège et première chanteuse de l'orchestre, le 28 septembre 1944, il engage Zappy Max comme chanteur, danseur et animateur. Tous répètent comme des forcenés. Le premier titre à être mis en chantier est : "Fleur de Paris". Cette chanson allait devenir un immense succès, le symbole de la Libération et l'indicatif de l'orchestre. Le deuxième titre a être mis en chantier est : "Quand allons-nous nous marier". Le premier gala a lieu le 14 septembre 1944, salle Iéna à 20h30. Alors commencent à se succéder galas, concerts en direct et enregistrés, ... A partir du 4 novembre Jo Charrier vient rejoindre l'orchestre comme chanteur, fantaisiste, violoniste et trompettiste.

L'année 1945 voit quatre ou cinq passages de l'orchestre par semaine sur les ondes. Les morceaux défilent. Il faut créer du nouveau. Que de succès sont lancés : "Jo le Cow-Boy", "La Polka d'Amour", "Le Gros Bill", "Paris-Tour Eiffel", "Accordéon". A la fin de l'année 1945, Francine Aubret quitte l'orchestre. Le 1er décembre arrive la nouvelle Francine, Francine Claudel. La nouvelle venue, belge comme la précédente est vive, virevoltante, mutine... tous les témoins l'affirment !

Le 27 Janvier 1946, au cours d'un Radio-Concert est créé le célèbre "Le Porte Bonheur". Vous avez certainement en mémoire les paroles : ... C'était un porte bonheur/Un petit cochon avec un cœur... La suite ne manque pas de piquant : Zappy Max en fait le récit. Nous résumons : "Jacques, inspiré, avait terminé l'émission en proclamant : "Si le bonheur vous fuit, écrivez-moi. Je vous ferai parvenir mon petit cochon avec un cœur. Au revoir ! Soyez heureux ! " Les demandes ne se sont pas faites attendre. Il a fallu en toute hâte concrétiser l'idée qui vu le jour sous la forme d'une petite breloque d'environ 2cm et représentant un petit cochon, dessiné par Jean Bellus, frappé d'un cœur aux initiales J.H. Pour répondre aux demandes, l'orchestre est d'abord mobilisé mais au bout d'une semaine, Jacques engage un personnel spécialisé..." Devant le flot déchainé des demandes et des envois, 250.000 exemplaires, il fallut proclamer l'opération terminée au bout d'environ un mois... faute de cochonnaille (dixit Jacques Hélian)...

En octobre 1946, toujours des nouvelles chansons : "Le régiment des mandolines", "Loulou",...

L'année 1947 est abordée par le lancement de plusieurs chansons : "Jimbo l'Éléphant", "La plus belle valse d'amour", "Il allumait les réverbères", "Joséphine", "As-tu vu Zaza ?". Le 1er février 1947, au Bal du Palais d'Orsay, Ginette Garcin remplace Francine Claudel. Le 2 juillet sont enregistrés : "Départ-Express" d'Aznavour et Roche et : "Ouvre la porte Richard". En septembre 1947, aux timbales, Patoum vient compléter les fantaisistes. Puis en octobre 1947, c'est Jean Marco qui rejoint l'orchestre. Il formera avec Ginette Garcin le duo idéal pendant des années. Zappy Max choisit cette fin d'année 1947 pour "voler de ses propres ailes".

Le 18 janvier 1948 est enregistré : "C'est si bon" (oui, c'est l'orchestre, parallèlement aux Sœurs Etienne, qui a diffusé en premier ce succès) ... Toujours des créations de nouvelles chansons : "Parce que ça me donne du courage", "La Marchina", "Maître Pierre", "Où vas-tu Basile", ...

Fin 1949, Jacques Hélian innove. Il adjoint à son orchestre un trio vocal : Les Hélianes. Le trio initial est formé de Claude Évelyne, Nadine Young et Rita Castel. Le 4 octobre, l'orchestre au grand complet avec Les Hélianes enregistre quatre titres : "Mañana", "Le Barbier de Palermo", "La danse du sabre", "Monsieur Martin". Le 10 octobre 49 arrive Pierre Brun, flûtiste et fantaisiste. Le 30 octobre 49, l'orchestre joue pour la 1ère fois à la radio ce qui allait devenir un de ses immenses succès : "Étoile des neiges". L'enregistrement aura lieu le 3 décembre 49 en même temps que : "Tout est tranquille". Le 10 décembre 49, un disque avec Bourvil est enregistré : "Pêcheur et Paysan" et "D'ou viens-tu ?"

L'orchestre tourne à partir de juillet 1950 le film Pigalle-Saint Germain des Prés. Nous y voyons : Jacques Hélian, Jean Marco, Ginette Garcin, Claude Évelyne, Nadine Young et Rita Castel, ... le truculent Henri Genès, la débutante (c'est son 3e film) Jeanne Moreau, ... un régal. Le film sort le 21 décembre à Paris. A l'automne 1950, Jacques Hélian fait venir le trompettiste Ernie Royal et Doris O'Casey remplace Nadine Young.

Jean Marco et l'orchestre enregistre le 11 avril 1951 : "Vieille Canaille", (disque Pathé n° PG.482) avant que Gainsbourg ne le massacre 30 ans plus tard dans sa version. L'orchestre tourne son 2e long métrage, Musique en tête, du 20 mai au 5 juillet 51. Là encore c'est un réel plaisir de voir la "bande à Hélian" s'amuser et nous amuser au côté de Rudy Hirigoyen, Jimmy Gaillard, Colette Deréal, Christiane Lénier, Irène De Trébert, Ginette Garcin. Le film sort le 14 décembre 1951 à Paris. Le 14 septembre 1951, à la reprise des répétitions, Ginette Garcin n'est plus là et Suzanne Day remplace Doris O'Casey. C'est à la fin de cette année 1951 que Jacques Hélian et son orchestre reçoivent le "Disque d'Or" des "Millionnaires du disque" pour le disque : "Étoile des neiges". C'est le deuxième de l'histoire ; le premier a été donné à Tino Rossi.

L'année 1952 voit en avril le départ de Suzanne Day et l'arrivée de Lou Darley. Le 1er mai, c'est le départ d'Ernie Royal. De nouveau le cinéma est là. Du 6 mai au 11 juin a lieu le tournage de Tambour Battant, 3e long métrage... De nouveaux arrangements sont proposés : "Sous un ciel orangé", "Ma petite folie". Cette "petite folie" est jouée pour la 1ère fois à la Radio le 12 janvier 1952.

L'année 1953 débute sous de bons auspices. Ainsi, la chanson "Je te le le", enregistrée le 13 janvier 53, est un énorme succès. Mais l'année 53 est surtout marquée par une terrible tragédie. L'orchestre est en tournée depuis le 11 avril avec le "Super-Circus". A Angers, Jean Marco décide, après le spectacle, de prendre sa voiture pour faire un aller-retour à Paris avec deux autres membres de l'orchestre : Georges Cloud et Jacky Bamboo. 2 km avant Connerré c'est l'accident : un chauffard ivre percute de plein fouet leur véhicule... Jean Marco et Georges Cloud sont tués sur le coup. Jacky Bamboo s'en tirera. C'était le 24 juin 1953. Auparavant, le 1er mai, Claude Évelyne avait rejoint sa Suisse natale. Elle est remplacée par Denise Rosia.

C'est Jean-Louis Tristan qui a le rôle ingrat comme chanteur d'occuper la place laissée vide par Jean Marco. Jean-Louis Tristan fera partie de l'orchestre de la saison 53-54 jusqu'à la saison 55-56 incluse. Les enregistrements continuent : "La fête des fleurs"(21-11-53), "Mon petit fichu" (25-01-54), "Tout au bout de la semaine"(08-04-54), "Plus je t'embrasse" (16-10-54), "La rivière sans retour" (05-01-55), "La Tamise est mon jardin" (27-05-55).

Début 1956, Jacques Hélian, insensiblement, fait entrer le rock and roll dans son répertoire, un peu plus de jazz traditionnel, de la musique typique, ... : "Toutes les heures qui sonnent" (06-01-56),version française de : "Rock around the clock", "Rock and Roll Parade" (11-10-56), "Don Clémenté" (30-05-56)" . Mais, courant 1956, il est assailli d'ennuis graves : maladie, contrôle fiscal aveugle, problème dans son ménage... Le 7 novembre, il subit l'ablation du rein gauche.

Il reprend la direction de l'orchestre en février 1957. Mais le cœur n'y est plus et le 15 mars 1957, après le spectacle donné au Capitole d'Orange, l'orchestre est dissout. Ainsi l'orchestre, avec tous les salariés mensualisés et dotés d'un contrat d'un ou deux ans, aura vécu presque treize ans sans discontinuer. Que de chansons créées que des milliers de gens fredonnèrent et qui furent reprises par les vedettes de l'époque. On s'étonne, on s'indigne fortement que les médias quand ils font entendre  - trop rarement - ces chansons n'en donnent que la version "vedette" sans même citer le nom du créateur : Jacques Hélian et son orchestre. Mais pour l'instant, l'aventure n'est pas terminée.


Le Nouvel Orchestre

Poussé par la nécessité et par le public, dès l'été 1958, Jacques Hélian remonte un nouvel orchestre pour faire danser et présenter quelques numéros d'attraction. Cet orchestre durera jusqu'au 31 décembre 1979 soit vingt et un ans. L'orchestre a toujours la sonorité, le style Hélian. De nombreux enregistrements sont faits. Nous trouvons parmi les chanteuses : Christiane Legrand, sa nièce, Danny Dallest, Claudine Meunier, Nadine Gaudel, ... Parmi les chanteurs, nous trouvons : Fred Harvey, Vasso Marco, le frère de Jean Marco... Les airs des années 60 enregistrés par l'orchestre supportent la comparaison avec les enregistrements des mêmes titres effectués par les vedettes de l'époque : "Vendanges à Madeira"(1958) aussi interprété par Luis Mariano, "Qu'il fait bon vivre"(11-1959) par les Compagnons de la Chanson, "Les marrons chauds"(02-12-60) par Dalida, "Nous les gars, nous les filles" (02-03-61) par Johnny Hallyday,.... Après 1965, les enregistrements se font de plus en plus rares. Le dernier disque est enregistré le 9 octobre 1973.


L'ultime étape

A partir de 1979, la santé de Jacques Hélian s'altère. Il se consacre à l'écriture de son livre sur Les grands orchestres de Music-Hall en France, qui sort en 1984. Il se retrouve pratiquement seul à partir de 1982. La présence d'Henri Merveilleux et d'un petit cercle d'amis l'aidera à nous quitter en pensant que son public, auquel il avait tant apporté, ne l'avait pas oublié même si les médias le délaissaient. In extrémis, le talent de Jacques Hélian sera officiellement reconnu. Il est nommé le 12 avril 1985 au grade d'Officier des Arts et Lettres et le 15 juillet 1985 au grade de Chevalier dans l'Ordre National de la Légion d'Honneur. Jacques Hélian n'aura que peu de temps pour savourer ces distinctions car il décède le dimanche 29 juin 1986 à 21h35. Ses cendres reposent au columbarium du Père Lachaise sous le N° 15672.

 Le 03 février 2007


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Voir ici.


Sources bibliographiques

1. Jacques HÉLIAN Les grands orchestres de Music-Hall en France (Souvenirs et témoignages) Paris: Éditions Filipacchi, 1984. 235p.
2. Zappy MAX Mes quitte ou double Paris: Dreamland, 2000. 410p.
3. Henri MERVEILLEUX Jacques HÉLIAN et son merveilleux orchestre Paris: Henri MERVEILLEUX 83 av. du Docteur NETTER, 75012 Paris, 2002. 306p.
4. Jean BAHUAUD Une biographie de Jacques Hélian Article recueilli par Christine et Jean-François PETIT, Cinquième Cahier, mai 2004, p. 37-46
5. Jean-François PETIT et Jean BAHUAUD Ici Jacques Hélian et son orchestre,C.H.A.V. (Culture et Histoire Autour du Vignon) 18 rue des Ecoles 02000 Chavignon, N°4, 2004, p.25-30
6. Roland FAURE  Jacques Hélian et son orchestre http://perso.orange.fr/jacques-helian  (site créé en mars 2004)
7. Zappy MAX  Jacques Hélian et son orchestre, une Saga fabuleuse  Paris: Cheminements, 2006. 299p.

 Sources discographiques

8. Jacques HÉLIAN et son orchestre 2 CD. Compilation 1997 EMI Music France  856004 2 (Période 1945 à 1956)
9. Jacques HÉLIAN et son orchestre Les Étoiles de la chanson 1 CD. Compilation 1997 JBM Music Memoria 7243 844005 2 1 (Période 1945 à 1946)
10. Jacques HÉLIAN et son orchestre 20 succès inoubliables 1 CD. 1999 Réédition Mariane Mélodie Ref. 991611 (Période 1945 à 1946)
11. Rendez-vous avec... Jacques HÉLIAN et son orchestre Coffret de 5CD. 1999 Réédition Mariane Mélodie Ref. 991605 à 991609  (Période 1948 à 1954)
12. Jean MARCO L'amour se joue 1 CD. 2003 Compilation Mariane Mélodie Ref. 031624  (Période 1948 à 1952.)
13.Jacques HÉLIAN et son orchestre Mon petit fichu 1 CD. 2004 Compilation Mariane Mélodie Ref. 041628  (Période 1946 à 1953)
14. Jacques HÉLIAN Étoile des neiges 1 CD. 2006 Compilation Mariane Mélodie Ref. 061713  (Période 1946 à 1952)
15. Jacques HÉLIAN et son merveilleux orchestre 20ème anniversaire †  1 CD. 2006 Compilation C.B.R.M. : Association C.B.R.M. M.
M. Marcel Rubio Résidence Le Président Bt. B(tour) 81, Bd.Virgile Barel 06300 Nice  (Période 1948 à 1955). Il existe d'autres compilations : se renseigner à l'adresse ci-devant.
16. Jacques HÉLIAN à la Radio 1 CD. 2006 Compilation  Roland Fauré   http://perso.orange.fr/jacques-helian  (1947 et 1953). Pour d'autres compilations, consulter le site ci-devant.

Sources filmographiques

17. Jacques HÉLIAN et son orchestre, Jeanne Moreau, Henry Genès, ... Pigalle-Saint Germain des Prés
Film de BERTHOMIEU  Sortie Paris : 7 novembre 1950 K7 Vidéo René CHATEAU (existe maitenant en DVD chez le même éditeur )
18. Jacques HÉLIAN et son orchestre, Christiane Lénier, Rudy Hirigoyen, Irène de Trébert, Jimmy Gaillard, ... Musique en tête
Film de Georges COMBRET Sortie Paris : 14 décembre 1951 K7 Vidéo René CHATEAU
19. Jacques HÉLIAN et son orchestre, Roland Armontel, Jimmy Gaillard, Sophie Leclair, ... Tambour battant.